"LES SCEPTIQUES SERONT CONFONDUS"
Après avoir reçu le prix du jury à Cannes, Xavier Dolan part défendre son film auprès du grand public. Avant sa promotion, Mommy avait déjà reçu des critiques unanimes sur le travail de Xavier Nolan. En octobre 2014, la promotion de Mommy est entamée et les critiques sont tous abasourdies après le visionnage de ce film. De nombreux critiques considèrent ce film comme un chef d'oeuvre et Xavier Dolan comme un génie du cinéma. Des sa sortie, Mommy écrase l’énigmatique et excellent Gone Girl. A 25 ans, Xavier Dolan est le petit prodige et avant-gardiste d'un nouveau style cinématographique. Acteur et réalisateur, Xavier Dolan se révèle être un petit génie dans la réalisation. Avant Mommy, ce jeune québécois nous avait montré son talent dans la réalisation avec Laurence Anyways, Tom à la ferme, les Amours Imaginaires et J'ai tué ma mère. L'avènement de Mommy marque un tournant dans la carrière de Xavier Dolan car c'est ce film qui vient saluer tout son travail.
De quoi parle le film ?
Dans Mommy, Xavier Dolan relate la relation entre un mère et son fils psychologiquement instable. Au coeur de ces difficultés, la voisine Kyla vient aider le jeune homme en illuminant un peu la vie de cette famille et sa vie.
En sortant de la salle, il est difficile de définir Mommy. Dans tout les cas, Mommy a réussi à me chambouler du début à la fin. Tout d'abord, le film est intéressant par son cadrage. Effectivement, le réalisateur Xavier Dolan n'a pas utilisé le format lambda mais il a utilisé le format [1:1]. Il est certain que le format joue un rôle dans le film car il permet de cloisonner l'espace et d'enfermer les personnages. L'espace est réduit à un simple carré et met en avant l'idée du portrait. Chaque scène tire le portrait des personnages dans des espaces et des situations différentes. Puis, on ressent une certaine proximité avec les personnages. Cette idée de renferment nous rapproche de chaque personnage. Les personnages sont isolés dans ce format. La beauté de ce film réside aussi dans l'esthétique des images. Certaines scènes sont d'un lyrisme éblouissant porté par un jeu de lumière filtré et maîtrisé.
Dans la mise en scène s'ajoute le choix des musiques. On constate que Dolan est un enfant biberonné et bercé par les années 90. Le choix des musiques n'est pas anodin. Effectivement, les musiques apportent un plus dans la compréhension des sentiments des personnages. On peut retenir la scène où Steve déambule sur son skate avec en fond sonore Colorblind du groupe Counting Crows. La beauté de la scène réside dans l'orchestration dans la mise en scène. Musicalement, on retrouve aussi Céline Dion avec "On ne change pas" où les paroles de la chanson retranscrivent la situation de chaque personnage. On peut noter la beauté de la scène où Steve tente de s'échapper du format tout en étirant sur les bords. La scène est magnifiquement bien orchestrée par la chanson Wonderwall d'Oasis. La mise en scène de Mommy est harmonisé par un ensemble.
La force de Mommy n'est pas simplement dans l'esthétique des images, une bande son bien orchestrée mais elle réside dans le travail d'interprétation du trio d'acteurs. Mommy n'est pas simplement un travail esthétique mais c'est aussi une histoire humaine. Rien n'est surjoué. Le travail est dans l'émotion et les gestes. Anne Dorval est brillante dans le rôle de Diane, la mère de Steve. Cependant, Suzanne Clément est totalement fabuleuse dans le rôle de Kyla. Son travail est tout simplement dans l'émotion. En ce qui concerne Antoine Olivier Pilon, son travail révèle en lui un grand acteur. Malgré tout la violence à l'intérieur de son personnage, il réussit à jouer un personnage attachant dont on ressent de la peine pour lui.
En conclusion, Mommy est un chef d'oeuvre avant gardiste. Il est avant gardiste par sa mise en scène minutieusement orchestrée à l'aide d'un travail esthétique et une bande son sublime. De plus, la beauté et la force de ce film sont dues aux brillantes interprétations du trio d'acteurs. Il est certainement difficile de donner un avis sur ce film mais on en ressort bouleverser par tant d'émotions. Xavier Dolan nous montre qu'il est un virtuose dans la réalisation. Ainsi, son omniprésence dans les médias est amplement mérité et permet de mettre en lumière son génie artistique. Mommy révolutionne le 7ème art en lui redonnant des couleurs à un cinéma en manque d'authenticité. Courrez vous prendre une claque avec Mommy!
Dans la mise en scène s'ajoute le choix des musiques. On constate que Dolan est un enfant biberonné et bercé par les années 90. Le choix des musiques n'est pas anodin. Effectivement, les musiques apportent un plus dans la compréhension des sentiments des personnages. On peut retenir la scène où Steve déambule sur son skate avec en fond sonore Colorblind du groupe Counting Crows. La beauté de la scène réside dans l'orchestration dans la mise en scène. Musicalement, on retrouve aussi Céline Dion avec "On ne change pas" où les paroles de la chanson retranscrivent la situation de chaque personnage. On peut noter la beauté de la scène où Steve tente de s'échapper du format tout en étirant sur les bords. La scène est magnifiquement bien orchestrée par la chanson Wonderwall d'Oasis. La mise en scène de Mommy est harmonisé par un ensemble.
La force de Mommy n'est pas simplement dans l'esthétique des images, une bande son bien orchestrée mais elle réside dans le travail d'interprétation du trio d'acteurs. Mommy n'est pas simplement un travail esthétique mais c'est aussi une histoire humaine. Rien n'est surjoué. Le travail est dans l'émotion et les gestes. Anne Dorval est brillante dans le rôle de Diane, la mère de Steve. Cependant, Suzanne Clément est totalement fabuleuse dans le rôle de Kyla. Son travail est tout simplement dans l'émotion. En ce qui concerne Antoine Olivier Pilon, son travail révèle en lui un grand acteur. Malgré tout la violence à l'intérieur de son personnage, il réussit à jouer un personnage attachant dont on ressent de la peine pour lui.
En conclusion, Mommy est un chef d'oeuvre avant gardiste. Il est avant gardiste par sa mise en scène minutieusement orchestrée à l'aide d'un travail esthétique et une bande son sublime. De plus, la beauté et la force de ce film sont dues aux brillantes interprétations du trio d'acteurs. Il est certainement difficile de donner un avis sur ce film mais on en ressort bouleverser par tant d'émotions. Xavier Dolan nous montre qu'il est un virtuose dans la réalisation. Ainsi, son omniprésence dans les médias est amplement mérité et permet de mettre en lumière son génie artistique. Mommy révolutionne le 7ème art en lui redonnant des couleurs à un cinéma en manque d'authenticité. Courrez vous prendre une claque avec Mommy!
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