Un soir, un concert #16 Franz Ferdinand, Liam Gallagher, The Killers & Editors


Longtemps que je n'avais pas parlé de concert sur le blog. Pourtant, les mois de février et mars furent chargés en live. Voici un petit résumé de ces quatre concerts inoubliables :



Franz Ferdinand & The Vaccines au Zénith de Paris 


Ce soir là, c'était le retour deux groupes britanniques. L'un est un petit groupe qui s'est fait discret ces derniers temps et l'autre est un groupe dont les tubes rock'n roll ont marqué l'histoire musicale britannique. Autant dire, c'était le bon combo musical. La première partie fut assurée par le groupe The Vaccines mené par le leader Justin Young. Après une longue absence, The Vaccines revient sur le devant de la scène avec son nouvel album Nightclub. Fidèle à eux même, les Vaccines ont gardé ce rock'n roll vintage et pêchu qui a fait leur succès. Dans la setlist, on retrouve des titres comme leur nouvel chanson I can't quit, Handsome, Teenage Icon ou encore des titres de leur premier album avec les classiques Wetsuit ou encore If You wanna. On peut dire que c'était une bonne entrée en matière avant l'arrivée des écossais de Franz Ferdinand.








Il est l'heure et l'ambiance s'électrise lorsque le groupe écossais des Franz Ferdinand entre sur scène. Le rock, c'est leur dada et ils savent ambiancer leurs fans français. On peut même dire qu'ils aiment beaucoup le public français car on ne compte pas le nombre de concerts qu'ils ont pu donner sur le sol français. Ils sont de retour pour jouer leur nouvel très bon nouvel album intitulé Always Ascending. Le chanteur Alex Kapranos prouve parfaitement que le rock'n roll n'est pas mort. Le groupe enchaîne les titres comme Lazy Boy, No You Girls, Love Illumination ou encore à la suite le combo Take Me Out/ Ulysse qui font toujours leur effet sur le public français. Malgré toutes ces années, Franz Ferdinand est une valeur sure en live. C'est un groupe à voir et à revoir ! 


Liam Gallagher à l'Olympia 

Après avoir vu Noel Gallagher à Rock en Seine, je rêvais de voir son frère Liam. On va dire qu'après la séparation d'Oasis, notre cher Liam s'est un peu cherché. Puis, il s'est mis à faire un album solo qui marche plutôt bien. Quand un frère Gallagher vient, c'est toujours l'occasion de le voir. En mars dernier, Liam Gallagher venait défendre son premier album sur la scène de l'Olympia. Evidemment, la salle était remplie de fans d'Oasis. Le chanteur de Mantchester nous livre un live efficace mais assez court. Il alterne entre les titres de son premier opus solo avec les chansons telle que Wall of Glass, For What It's Worth ou encore Chinatown et forcément nous avons eu le droit à des chansons d'Oasis comme le célèbre Wonderwall, Live Forever, Champagne Supernova ou encore Whatever. Malgré la courte durée de ce concert, c'était assez rock'n roll et moins mou que son frère Noel.

The Killers au Zénith de Paris 


En mars dernier, le groupe américain The Killers donnait un concert au Zénith de Paris. Depuis longtemps, je rêvais de voir le groupe de Brandon Flowers sur scène et c'est chose faite par une grande chance. Pour The Killers, on a affaire à un show tout droit sortie de Las Vegas. Le chanteur Brandon Flowers met le feu à la scène du Zénith et oui il est The Man. Chaque chanson phare du groupe est repris en coeur par le public français. Parmi les classiques, on retrouve Somebody Told Me, Human, Bones, Shot At The Night, When You Where Young et en guise de final Brandon  enflamme la salle parisienne avec l'incontournable Mr Brightside. Bien sur, on ne reste pas indifférents.es face à la beauté de Brandon Flowers et ses différents costumes (surtout le doré). C'était un concert inoubliable ! 

 Editors à l'Olympia 


Le groupe britannique d'Editors revienne en France et cette fois, ils se produisent dans la salle mythique de l'Olympia. On peut dire qu'ils ne déçoivent pas voire jamais ! Le chanteur Tom Smith fait résonner sa voix grave dans tout l'Olympia et électrise la foule avec les hymnes du groupe comme Papillon, Munich, Lights ou encore The Racing Rats. Puis, il y a le côté intimiste où No Sound But The Wind donne des frissons et amène un peu de douceur. Dans la setlist, on retrouve aussi des chansons de leur nouvel album Violence comme Magazine, l'enivrant Cold ou encore l'agressive Hallelujiah (Low). Ce que j'aime chez Tom Smith, c'est que c'est un artiste habité et il fait vivre ses chansons. Mon quatrième concert de ce groupe et il n'y a aucune déception. 



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